Le règne du merveilleux et de l’humour noir dans Quand le bruit travaille de Gisèle Prassinos
Gisèle Prassinos, Quand le bruit travaille, Paris, Éditions G. L. M., 1936, n. p.

Fait intéressant, l’avant-dernière et la dernière fables (appelons ainsi, pour l’instant, les récits brefs puisque les animaux anthropomorphisés y sont omniprésents) de Quand le bruit travaille, publié par Gisèle Prassinos (1920-2015) en 1936 sont très courtes ; elles font moins de trois pages et sont reprises en fragment sur la première de couverture, d’une curieuse disposition typographique. Le titre du recueil y est aménagé à la manière d’une croix (ou d’un T majuscule) dont le verbe conjugué à la troisième personne du singulier « travaille » est ordonné à la verticale, avec en miroir, de part et d’autre, les deux extraits tirés des quatrième et cinquièmes récits fabuleux.







